Compendium

Terre et climat

Océanographie

COMMENT L'OCEAN DEVORE-T-IL LES ÉPAVES ?

[VIDEO] [14 minutes]

QUAND LA NATURE SE NOURRIT DES CREATIONS HUMAINES

Le 14 avril 1912, le Titanic, alors le plus grand et le plus luxueux paquebot du monde, sombre dans l'Atlantique nord faisant près de 1500 victimes (principalement chez les 3ème classe et les membres d'équipage). Ce naufrage, techniquement dû à la collision du navire avec un iceberg, est aussi le symbole d'une société capitaliste et compétitive prônant vitesse et grandeur.

Il y aurait actuellement plus d'une dizaine de milliers d'épaves de bateaux dans les eaux du monde entier. Toutes se retrouvent sur un pied d'égalité dans leur devenir subaquatique : elles se font lentement mais sûrement grignotées par la faune et la flore aquatique qui ne regarde ni la richesse ni la taille. 

 

 

 

Balade Mentale est une chaîne YouTube francophone de vulgarisation scientifique créée par Léo Grasset et Yoann Quelen, qui explore des sujets variés allant des mathématiques à la biologie, en passant par la physique, l’histoire des sciences et la philosophie. Leur approche mêle rigueur scientifique et esthétique visuelle soignée, avec un ton souvent poétique et contemplatif.

Leur objectif est d’éveiller la curiosité et d’inciter à la réflexion sur le monde qui nous entoure, en adoptant un style narratif immersif, souvent accompagné d’animations et d’une bande sonore travaillée. Contrairement à d’autres chaînes de vulgarisation plus classiques, Balade Mentale cherche à stimuler l’imaginaire et la sensibilité du spectateur, tout en abordant des concepts complexes de manière accessible.

Les sujets traités sont variés :

La cosmologie et les mystères de l’univers,
La biologie évolutive et l’intelligence du vivant,
L’histoire des sciences et des découvertes,
La philosophie et l’épistémologie,
La perception et la conscience.

La chaîne se distingue par son approche sensorielle et philosophique, cherchant moins à enseigner des faits qu’à susciter un émerveillement scientifique et une réflexion plus profonde sur notre rapport au savoir.